Bon, puisqu’aucun des lofteurs montreuillois ne se décide à prendre son clavier en main pour alimenter ce pauvre blog, au risque de le voir délaissé par tous ses fidèles lecteurs, je m’y mets. Parce que si on attend que PO raconte notre mésaventure électrique d’il y a quinze jours, on n’est pas rendu. A croire qu’un WE à la Garde Républicaine ne lui a pas donné envie de s’attarder sur l’épisode…
En fait c’est un peu à mon tour d’écrire. Pour une fois, j’ai une bonne raison de faire grimper les STAT de visites sur le blog depuis mon poste professionnel…(merci d’ailleurs Guillaume de m’avoir signalé que la technologie moderne permettait de savoir à quel moment de la journée exactement je ne suis plus très concentrée sur mon travail…).
Le sujet que je vais aborder est bien sûr la dernière fiesta en date qui a réveillé le loft de Montreuil, la « loft party ». J’avais choisi le WE idéal pour fêter mon arrivée à Montreuil : un WE où je savais pertinemment que je devais réviser de façon intense mon GMAT (pour ceux qui ne savent pas ce que c’est, mieux vaut rester dans l’ignorance), examen que je passais le lundi suivant… Mais l’avantage d’habiter avec deux mecs, croyez-le ou non, c’est qu’on peut s’exiler chez sa cousine pour réviser tout le WE, revenir 2 heures avant le début de la soirée seulement, et constater avec joie que les courses ont été faites, la liste respectée à la lettre…
Et comme les mecs aiment les paris (PO est même en phase de devenir maître en la matière), mes collok ont eu la bonne idée d’en faire un, avec pour enjeu le rangement de la soirée. Ainsi, j’ai pu m’éclipser le lendemain matin, l’esprit libre de toute culpabilité, mon livre de GMAT sous le bras !
Mais j’en viens à l’essentiel…les potins. Combien de cadavres (de bouteille et autres) ? Qui a chopé qui ? Des records de râteaux ? Vous saurez tout…ou pas d’ailleurs, car au risque de vous décevoir il n’y a pas vraiment eu de gros potins.
La soirée avait bien évidemment –et heureusement ?!- moins d’ampleur que la première que j’avais faite à Montreuil (le départ d’Armand). Ainsi, mon PC continuait de chanter tout seul en fin de soirée et ne s’est pas envolé miraculeusement quand les derniers survivants ont squatté l’autre pièce ; nous n’avons répertorié aucune vaisselle cassée (en même temps c’était des gobelets en plastiques…) ; pas non plus de marre d’alcool par terre pour faire des glissades acrobatiques. Et, s’il est vrai que j’ai pu avoir un aperçu du phénomène « David », qui vaut bien une bonne douzaine d’Erasmus, ces derniers se trouvaient cette fois en nombre amoindri (une bonne partie des pays d’Europe manquait à l’appel, avec notamment une sous-représentation de l’Italie, au grand damn de la gente féminine). A part ça, une sono un peu pourrie (ouais c’était mon PC…), un PO plus sobre que jamais (une malheureuse gastro la veille, c’est à vous dégoûter de l’alcool…), un Benjamin toujours au taquet, et tout un tas d’ex- popokhâgneuses au milieu d’une population de commerciaux et d’ingénieurs…
Ah, et j’ai enfin pu rencontrer –vraiment- le propriétaire de ma chambre. D’ailleurs, à ce propos Armand, s’il te prend l’envie de mettre un post sur le White horse, pour en expliquer le principe, n’hésite pas !! je t’y rejoins bientôt !
PS: la photo, c'était à la demande de Guillaume, pour me présenter (eh non je ne suis pas blonde à forte poitrine...)